Etudes thématiques
Les études sur l'érosion des sols
Risque érosion / zones sensibles à l'érosion diffuse :
Identification des zones sensibles à l'érosion diffuse sur la base de niveaux de risque. Les secteurs concernés par une zone sensible à l'érosion diffuse nécessitent une vigilance accrue sur la compatibilité de leurs documents d'urbanisme avec la disposition 3 du SAGE. Etude de 2018.
Aléa érosion :
Constitution d’un outil d’analyse et étude de l’aléa d’érosion sur le territoire du SAGE de l’Adour amont (étude confiée à Asconit Consultants). Etude de 2010.
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Les données SIG relatives à ces études sont disponibles sur demande auprès de l'animatrice du SAGE Adour amont.
Les études sur les zones humides
Identification des zones humides probables
Cartographie des zones humides sur le territoire du SAGE Adour amont par approche morpho-pédologique (étude confiée à la CACG). Etude de 2010.
Télécharger la note de synthèse
Télécharger l'atlas cartographique
Attention, cette cartographie est indicative et ne saurait remplacer un diagnostic de terrain.
Base de données unique des zones humides du bassin de l'Adour
Les données de zones humides probables et réelles identifiées sur l'ensemble du bassin de l'Adour par de nombreux partenaires ont été compilées en 2018 au sein d'une base de données unique téléchargeable depuis la page demande de mise à disposition de données zones humides sur le bassin de l'Adour.
L'étude sur les plantes exotiques envahissantes
La gestion des plantes exotiques envahissantes du bassin nécessite une coordination entre territoires et entre acteurs d'un même territoire pour être efficace. Or, les acteurs du bassin possèdent une connaissance de leur implantation qui n'est pas toujours intégrée aux bases de données régionales ou nationales.
La présente étude, intitulée "Etat des lieux des plantes exotiques envahissantes du bassin de l'Adour" a permis de collecter une partie de ces données. Elle ne vise pas l'exhaustivité mais doit permettre de mieux cibler des secteurs prioritaires d'intervention. Ainsi, les espèces ciblées sont facilement identifiables.
L'étude, réalisée en 2018, a été finalisée en 2021.
L'étude sur les boisements rivulaires et la conciliation de leurs usages
Face aux coupes rases observées en bord de cours d'eau et au développement de la filière bois-énergie, l'Institution Adour a mené, dans le cadre d'un appel à initiative de l'Agence de l'eau Adour-Garonne, des études pour mieux identifier les fonctionnalités des boisements bordant l'Adour et ses principaux affluents. L'objectif est de concilier au mieux les différents usages et intérêts de ces boisements.
Dans ce cadre, des outils d'aide à la décision à destination des élus, aménageurs et opérateurs techniques pour faciliter la conciliation des usages. Des fiches thématiques, territorialisées et des atlas sont mis à disposition des acteurs du territoire.
En outre, un chantier test a été réalisé sur un boisement dit "dégradé" en bord d'Adour pour évaluer les coûts et bénéfices des produits de coupes, dédiés à une valorisation énergétique, avec replantation. Un fond documentaire est également mis à disposition.
Retrouvez tous les éléments sur cette étude au lien suivant : https://www.institution-adour.fr/boisements-rivulaires.html
L'actualisation du bilan besoins-ressources
Le bilan besoins-ressources permet d'identifier les secteurs où les besoins sont supérieurs aux ressources disponibles en année quinquennale sèche et engendrent donc une non-satisfaction des besoins. Une année quinquennale sèche est une année sèche arrivant statistiquement 2 années sur 10.
Cette étude constitue un outil pour mener des actions de résorption d'un équilibre quantitatif durable entre besoins des usages et ressources disponibles. Il s'agit d'un outil d'éclairage qui ne donne pas de préconisations mais peut alimenter les réflexions.
Le présent bilan besoins-ressources, réalisé en 2019, actualise les travaux de 2005 en introduisant un besoin de salubrité publique, lié à la dilution des rejets des stations d'épuration et en tenant compte de l'amélioration des connaissances. En outre, il comporte un volet prospectif en introduisant les évolutions climatiques attendues sur la période 2040-2070 qu'il applique aux usages actuels. Ainsi, cette projection n'a pas vocation à être prédictive car tout usage est amené à évoluer dans le temps mais constitue un outil d'aide à la décision pour accompagner les dynamiques locales. Enfin, contrairement à l'étude de 2005, l'évaluation des écarts entre ressources en eau et besoins des usages a été menée à l'échelle annuelle et non uniquement sur la période d'étiage actuel.
L'étude sur les impacts cumulés de l'assainissement non collectif
Si les services publics d’assainissement non collectifs (SPANC) se sont organisées depuis 2005, l'identification des impacts cumulés des installations, par leur concentration et/ou leur non conformité n'est pas réalisée de façon automatique à l'échelle de territoire plus vastes. Quelques bases de données existent mais elles restent très lacunaires.
Avec l'appui des SPANC du territoire, les SAGE du bassin de l'Adour (Adour amont, Midouze et Adour aval) ont donc dressés en 2021-2022 un premier état de la situation du bassin afin d’objectiver la situation de l’assainissement non collectif.
Cette étude vise également à permettre l’identification de priorités d’actions et des pistes de travail futures, dont les SPANC et les Commissions locales de l’eau pourront notamment se saisir.
